Carte d'identité * ~
Nom : Weber
Prénom : Adrian
Surnom Torn-Krell
Race : Humain
Âge : 35 ans
Sexe : Mâle
Ville : Alamo, quoi d'autre?
Métier : Chasseur, porte-flingue, chasseur de primes, barman a ses heures.
Groupe : Chasseur
~ * Dossier médical * ~
Description physique : Adrian ou Torn-Krell est un homme véritablement imposant, un regard sombre vous fixant de plus de deux mètre de haut, une brute a faire pâlir certains catcheurs, mal rasé, brun virant doucement aux grisâtre ce qui lui donne au total un air assez respectable, il se donne des airs de vieux rockeur usé par le temps, les ongles rongés, le regard terne, habillé comme il l'est dans une large veste de cuir, son oreille gauche est percée au lobe et aux cartilage par multiples anneaux.
Il a aussi, et c'est d'ailleurs l'origine de la première moitié de son surnom, de nombreuses cicatrices sur le visage qui sembles assez vielles pour la majorité, en effet pour un homme, Torn a toujours eu une cicatrisation facile, son corps humain est magnifiquement sculpté, ainsi, on dirait véritablement une sorte de vigile de boite de nuit, mais taille XL, cela pourrait lui donner presque une apparence grotesque, mais son regard de glace fait montre d'un sérieux et d'un don presque innée pour la retenue, souvent droit comme un piquet, il inspire la peur s'en même le vouloir, en effet, peu de gens osent s'en prendre a ceux qui font trois tête et quelques dizaine de kilos en plus qu'eux même.
Il portent quelques bijoux dont deux bagues et de long bracelet de force qui protègent ses avant bras en cas de lutte (notez que pour lui, ceci rentre dans la catégorie "bijoux"), mais son plus beau objet reste un pendentif qu'il cache et pour cause, dedans se trouve la photo d'un homme heureux, entourant de ses bras larges comme des tronc d'arbres une femme brune et un enfant jeune, seul souvenir qu'a un homme a la mémoire flanchante d'un temps maintenant révolu.
Torn fume en permanence et vie une assez peu saine, il en porte donc les marques, cernes et taches brune-bleu autour des yeux, ongles jaunes, trait du visage fatigué malgré sa force apparente, son nez montre qu'il a déjà été cassé et pour cause.
Les vêtements de Torn sont a l'image du personnage, souvent sombre et simple, Torn ne s'est jamais pris la tête a avoir une esthétique travaillé, une longue veste de cuir noir dont il change souvent (et pour cause, il récupère souvent celui qui lui plaît sur celui qui le portait avant), un haut blanc et un pantalon militaire sombre assez large tout en disposant de deux holster et d'un bon nombre de poches larges. Pratique mais pas vraiment super beau...
Remarquez, ça lui va pas trop mal, en même temps, il change assez peu souvent de vêtement et pour cause, il n'en a pas beaucoup...
Ce qui choque le plus chez lui, hormis sa taille gargantuesque et sa force a la limite de l'humaine, c'est la cicatrice en forme de vague qu'il a sous l'œil gauche, l'on dirais parfois que c'est une griffe énorme qui est incrusté sous sa peau a cet endroit...
~ Signes particuliers :Description psychologique : Dure, spartiate si l'on fait abstraction de ses excès , Torn est, comme son surnom l'indique, déchiré, séparé entre son passé et son présent...
D'apparence toujours silencieuse et taciturne, terne de nature, privé du charme des sentiments et de l'explosion de la passion depuis un moment, ne ressentant plus que la mélancolie d'un temps passé, son seul moyen pour se sentir encore vivant, s'est justement d'éprouver son instinct de survie...
Ainsi, il se bat pour vivre et il vie pour se battre, ainsi est sa damnation...
Torn est clairement voué de réflexe auto-destructeur, c'est une brute et un allumé, mais le genre qui réfléchit, ne le prenez pas pour un imbécile car il est tout sauf stupide, juste plein de chagrin...
Torn, c'est le genre de type qui né dans un autre monde serait devenu radicalement différent, mais au vu de son passé lourd, pas la peine de se demander pourquoi il est ainsi...
Krell est le genre de type qui ne demande pas de raison pour se battre, mais dans ce cas présent, il a une raison bien précise qui le pousse a être aussi frénétique, bien qu'il ne le disent jamais, c'est les démons qui ont tués sa famille, peu lui importe désormais, il ne vie plus que pour tuer ces monstres, sa vie n'a plus aucune importance...
"Si on n'est pas prêt a sacrifier sa vie en tant que chasseur, il vaut mieux rester dans la cité et attendre que les démons entre...Car sans nous, un jour ou l'autre, cela arrivera..."~ Ce qu'il / elle aime : Torn aime plusieurs choses, original dans l'âme, notre anti-héros apprécie les drogues et l'alcool, que voulez vous, il est né avec un manque, il aime aussi tout ce qui touche a la modification physique, du simple piercing a la robotisations du bras droits, il aime tout ce qui nous rend meilleur dans sa perpétuel quête de la perfection guerrière, Krell est le genre de type a aimer ceux qui ne passe pas par quatre chemin, jmen-foutiste devant l'éternel, il va toujours au plus simple et il apprécie cette qualité chez les autres...
~ Ce qu'il / elle n'aime pas : En bon cynique, Torn déteste ceux qui croient toujours en leur rêve, parlez lui d'une aide de dieux, il vous répondra qu'un coup de fusil a pompe est toujours plus utile que n'importe quelle miracle, n'attendez pas de véritable tolérance ou répugnance de sa part car il se fiche de beaucoup de choses qui ne le touche pas...
Petit détail, Torn dispose d'une fierté personnel qu'il ne vaut mieux pas ébranler, ainsi, si vous avez dans l'idée de le rouler dans la farine, fournissez vous une Unité Blindée de combat, c'est la seule chose qui pourra vraiment vous protégez a tout moment d'une revanche forcée de notre colosse...
Et croyez moi, vous n'aimeriez pas tomber entre les mains de Krell, il est alors facile de deviner que Torn a déjà travailler pour des instituts bien plus dangereuse que les simples gang de rue...
~ * Biographie * ~
Son histoire :On ne connait que bien peu de choses sur Torn, mais après nous être servis de la technologie que vous nous avez donnez monsieur le Directeur, nous avons pu sortir des images et des mots de la cervelle de cette brute épaisse, rien de bien concret jusque la bien sure mais nous y travaillons, il ne sera pas dit que nous engagions un homme sur lequel nous ne savons rien...
2315: Naissance...Ma premiere vision du monde...
Esque je m'en rappel? Pour sure...
- Spoiler:
Je voit encore mes parents s'éloigner, je n'ai jamais su ce qu'ils étaient, mais dans le fond, peu m'importe, je n'ai pour sure pas de parents et cette idée me rassure, un homme sans parents, c'est un homme sans explication logique, sans origine, un tas de chair et d'os qui marchent, respire, tue et meurt un beau jour...
Je trouve cette vision des choses plus simple et plus belle que la majorité des cas...
2320: EnfanceMes premiers souvenirs, ha ce que j'ai pu aimer ce temps, a cette époque, j'étais un enfant plutôt solitaire, rêveur, j'avais du mal a m'intégrer dans le groupe d'enfant que réunissais mon orphelinat, non pas que je ne les aimais pas, mais je pensais tout le temps a comment sortir, a ce moment de ma vie, je riait pour rien et je passais mes jours a regarder en l'air et les nuits a fixer l'extérieur, j'ai vite comprit en grandissant que pour trouver ma place, j'allais devoir donner des coups d'épaules aux autres, les gens n'aiment pas ceux sur quoi ils n'ont pas le moindre pouvoir, et si je peut me vanter de quelque chose, c'était que j'étais un véritable abrutis, je m'amusais souvent a provoquer des bagarres avec mes petits camarades, bagarre qui cessèrent 10 ans après et pour cause...
Intégré dans l'orphelinat du secteur 3 qui se nommait a l'époque "Saint dominique Savio" l'on essaya de me donner une éducation religieuse, chose que je rejeta très tôt en bloque, aujourd'hui ce bâtiment est en ruine et pourtant je retourne dans les restes miteux qui forment un tas de gravas et de pièces sombres pour boire une petite bière tout seul...
Quand j'y repense maintenant, je me dit que déjà a l'époque, je n'étais pas du genre a ressembler aux autres...
2330: AdolescenceHaaaa le début de ma vie, pas la peine d'en rajouter, j'imagine...
C'est a 14 ans que j'eus enfin ma première chance de fuir de l'orphelinat, vous vous en doutez, je n'ai pas hésiter un seul moment et j'ai sauté sur l'occasion, quelques adultes ont bien essayer de m'arrêter mais déjà a l'époque j'avais une bonne tête de plus que mes petits camarades...
Après m'être en fuit, je compris dès alors le cynisme de ce monde et l'indifférence qu'il y règne encore aujourd'hui, j'imagine que cela a toujours été ainsi...
De prime abords, j'avais l'air d'un gamin abandonné, c'est a cette époque que je passa ma première nuit dans un poste de police, j'eus quelques travailles honnête mais le moins qu'on puisse dire, c'est que cela m'ennuyais, surtout que mon dernier patron honnête était du genre a vous foutre trois paires de baffes et pas mal de coup de trogne juste pour vous montrez qui c'est le patron...
J'eus donc vite pigé que ma vie ne se passera pas dans la légalité et après 4 mois a errer dans les rues, je fit ma première rencontre intéressante, un certain Tony Lortan, un pure descendant de texan, le genre je tire et je cause si il reste aux autres de quoi formuler des mots, c'était un bon type le Tony, enfin par rapport a l'idée qu'on se fait d'habitude des chasseurs de primes, c'était pas un mauvais type et il pensait tout le temps que c'était sa "divine" mission que de répandre le bonheur autours de lui, c'est ainsi qu'il me prit sous son aile...
Il m'appris a tirer, a me battre et a chasser, non pas que j'étais un mauvais bagarreur, mais j'étais a l'époque plus du genre combattant de bar plutôt qu'autres choses, parfois, il me donnait un peu de marijuana, ho pas grand chose, juste de quoi partir pour le 7eme ciel quand je n'avais que ça a faire, mes premières cicatrices, je les eut avec lui...
- Spoiler:
C'était le bon temps, je n'avais pas d'argent a gérer, je commençait a me faire ma petite réputation et mon physique commençait déjà a montrer par quelques détailles que plus tard, si les autres voulaient me regarder dans les yeux, devraient lever pas mal la tête...
Mais chaque bonne chose a une fin comme dit le dicton et il fut vrais, car a 16 ans, 1 ans après ma rencontre avec Tony, ce dernier tomba sur une couille comme on dit dans le métier, il eut le malheur de croire qu'il pouvait jouer avec les militaires, manque de bol, un tir de roquette plus tard dans sa bagnole et pouf, plus rien...
Paumé et a nouveau libre, je pris la décision de m'engager dans l'armée et je rejoignit les autres troufions de soldats, mes capacités me firent monter dès que j'eu l'age d'être montrer sur le devant de la scène, fournis en armes et en équipement de qualités, je participa a l'époque a plusieurs arrestation musclées et a pas mal de prise d'otage et pas toujours dans le rôle du libérateur...
Que voulez vous? Le gouvernement a toujours eu besoin de types dans mon genre, sans aucunes manières, sans passé, sans histoire, le genre de type qui disparaissent vite fait au besoin...
2335: Première sortie et rencontre avec La femmeVingts ans, quelque dents en moins qui furent remplacés suite a ma première bagarre contre un démon, pas la peine de dire que ce jour la, j'ai chier dans mon froque, non pas que je suis ou que j'étais le genre a être un froussard, mais quand vous voyez ce genre de bestioles...
- Spoiler:
Surtout que cette bestiole, en comparaison, j'étais aussi lent qu'une putain de marmotte cul-de-jatte...
Mais, a la base, moi et mon équipe étions partit a 12, très bien équipées par les meilleurs armures de combat et armés comme des bourineurs de premières, c'est a cette époque que je mania pour la premieres fois mon grand amour en arme: Le minigun...
Bah pour le coup, même avec un flingue qui tirait près de 200 balles a la secondes, ça a pas suffit, quand l'hélico vint nous chercher, on étais plus que deux et moi j'avais faillit être borgne, la bestiole nous avait isolé les uns des autres et nous avait bouffés les un après les autres, quand l'énorme griffe passa près de mon œil, j'ai eu l'impression que l'on m'avait arraché la tête, heureusement, mon fusil a pompe tira avant et la créature s'écroula sur moi...
Même moi, j'eus beaucoup de mal a la soulever, elle devait bien peser dans les 140 kilos...
Et combien ont fut payer a votre avis pour avoir risquer nos vies comme ça? Une médaille de bravoure et de quoi s'offrir une bonne cuite entre les mains expertes de je ne sais plus combien de filles a vous faire hurler de plaisir, quand je pense que tout cela était prévus pour 12 hommes au lieu de 2...
Mais bon, dans le fond, ca ne me dérangeait pas plus que ca...
Mon contrat de quatre ans finit avec l'armée, retour au civil, le je reprend mes habitudes au fur et a mesure, dotés de plusieurs connaissance supplémentaire qui sont toujours pratique, en tant que porte flingue et de mercenaire, pas grand chose de bien particulier a vrais dire, juste de quoi me nourrire...
Puis, un soir, dans un de mes bar préféré, le genre miteux où y'a des centaines de minables de mon espece et des jolies filles qui dansent pour nous faire baver, la rencontre! Bam, sa simple vision m'enchante, une belle femme brune, forme magnifique, des dizaines de types comme moi la regarde avec envie, sauf que moi, ce n'étais pas cela...
A l'époque, je n'avais que peu d'expérience avec les femmes, trop occupé par ma survie pour m'occuper d'une femme, je ne m'étais jamais attarder sur tout cela...
Sauf que la...
L'amour mes amis...
- Spoiler:
Deux soir plus tard, grâce au patron du bar avec lequel je travaillais parfois en tant que garde du corps, je la rencontre, elle me plait et, chose étrange je lui plait, elle me dit que la danse n'est que pour passer le temps, qu'elle est une chasseuse de démons, ni une ni deux, je lui dit que je suis déjà sortit pour tuer un démon, elle me demande pourquoi, je lui répond que c'était les ordres, rien d'autres...
Deux soirs plus tard, une déesse est devant moi, elle dit qu'elle me veut, ce n'est pas pour mon physique, mais jvais pas me poser plus de questions pour ce soir, profitons d'une chance trop rare, elle a la douceur et l'odeur des anges...
Nancy, elle dit qu'elle s'appelle Nancy...
Ainsi commence mon age d'or comme l'appellerais surement un écrivain ou un historien, trois semaine plus tard, nous somme en couple...