Jaïna Crew

Nom :Crew (nb : en anglais Crew signifie équipe, équipage)

Prénom :Jaïna

Race : humaine

Âge : 33 ans

Sexe : féminin

Ville : Alamo

Métier : Créatrice de mode (haute couture et parfums)


Groupe : Civil



Description physique :

Parmi toutes ses modèles Jaïna a tendance à se fondre dans la masse. Grande mince voire filiforme, au début de sa carrière les critiques mettaient bien souvent quelques secondes à comprendre que la femme au milieu du podium est celle grâce à laquelle le défilé est né. Et malgré tout, Jaïna a un physique assez simple à décrire.
Même si certains ont tendance à la trouver jolie, Jaïna elle-même pense avoir, au final, un physique plutôt commun. Grande, peut être même un peu trop, mince, elle a l’habitude de disparaître au milieu des belles mannequins travaillant pour elle. Oh, mais ne vous méprenez pas, ses bras, ses jambes, son corps en somme est plus musclé qu’il n’y paraît. Mais pas de quoi rivaliser avec les chasseurs, tout de même…
On pourrait croire que Jaïna a un physique d’une banalité presque ennuyeuse. Ses seins, bien formés, ne sont cependant pas volumineux, et, si ses hanches sont légèrement marquées, l’artiste est loin d’avoir des formes voluptueuses. La nature ne s’est néanmoins pas acharnée sur elle. Son naturel et sa simplicité font son charme. Jaïna est élégante, que ce soit dans sa manière d’être, ou encore dans sa manière de se coiffer ou de s’habiller (encore heureux pour une créatrice de mode, me direz vous). Son visage, n’est pas totalement en reste. Angélique, là encore à première vue cela ne présente pas quelque chose d’original en soi dans le secteur de l’industrie de luxe. Mais ses cheveux blonds dorés sentant l’amande douce attirent l’œil, ses lèvres pleines s’étirent souvent pour former un doux sourire et ses yeux verts… sont capables de captiver. Mais ce qui captive encore plus ces derniers temps, c’est la rondeur évocatrice de son ventre…


~ Signes particuliers :Enceinte de bientôt six mois. A un odorat plus développée que la moyenne des humains (ne s’improvise pas nez qui veut…)

Description psychologique :

. Il s’agit là d’une femme qui aime à se retrancher derrière ses pensées. Elle ne parle que très peu, mais en général dit l’essentiel en quelques mots. Si la timidité en est peut-être la cause, il est certain que cet aspect de sa personnalité est le reflet d’une jeunesse où il lui fallait penser en silence. La femme apparaît donc comme une sorte de louve gardant farouchement ses petits. Loin d’être la bête apeurée, Jaïna a tendance à se montrer prédatrice. Elle a développé cet aspect de sa personnalité il y a peu de temps finalement, face aux railleries qu’elle a subi lorsqu’elle a voulu se lancer. Elle est méfiante, et fait confiance à peu de monde. Loin du cliché de la fille à papa pourrie gâtée et exécrable, Jaïna est une véritable reine de la débrouille. A la méfiance s’ajoute l’envie de vaincre, la volonté et la détermination. L’ange blond ne change que rarement d’objectif, et, à tort ou à raison, espère qu’une solution peut se présenter à tout moment. Mais l’image de la femme forte n’est qu’une façade. Si Jaïna peut faire preuve de courage, c’est bien souvent à ses propres dépends. A l’intérieur d’elle-même, elle est bien souvent le jouet du doute, de la crainte. A cela s’ajoute également un étrange sentiment de culpabilité, lié au fait de ne pas faire grand-chose pour améliorer concrètement le quotidien des gens d’Alamo…
Mais il y a des moments où la carapace se brise, où elle sombre au désespoir. Dans ces moments là elle se raccroche à n’importe quelle main, pourvue que d’apparence elle soit amie. La prudence et la méfiance dont elle a su faire preuve jusque là ne lui servent plus à grand-chose, et c’est bien souvent dans ces moments là qu’il est le plus facile de lui nuire.
Le fait qu’elle soit imaginative et créative n’en étonnera pas beaucoup. Il s’agit là de conditions essentielles à la réussite dans son milieu. Reste à savoir si cette imagination et cette capacité de création s’étendent à la vie de tous les jours. Par rapport aux autres humains, Jaïna a également un odorat plus développé. Il s’agit là d’un sens qu’elle a su aiguisé grâce à sa formation de nez. Et des personnes ayant fait de leur nez la base de leur profession, nous en conviendrons, ne sont pas ce qu’il y a de plus courant.
Docile et acceptant beaucoup de choses de ses proches, sous son apparence de glace habite en réalité un être fragile. Mais un être fragile qui peut s’avérer tôt ou tard prêt à tout pour montrer qui elle est. Cela implique que depuis quelques temps elle prenne des risques. Mais qu’importe, au fond, seul le résultat compte. Au final, on pourrait tout à fait comparer Jaïna a une bombe à retardement…


~ Ce qu'il / elle aime :

*La mode
*Son frère avec lequel elle entretient une relation très complice.
*Filmer, photographier.
*Les causes nobles.


~ Ce qu'il / elle n'aime pas :

*Les profiteurs.
*les misogynes
*qu’on la prenne pour une femme superficielle et sans cervelle.
*rester sans ne rien faire.



Son histoire :


[Extrait du livre « Crew, l’interview » d’Arnold Dubary, publié aux éditions « Renaissance », 2350.]

Arnold Dubary : Quel est votre parcours dans le secteur de la mode ?

Jaïna Crew : Comme beaucoup le savent sans doute, il y a bientôt 25 ans de ça, mon père s’est décidé à se lancer dans le secteur de la haute couture et du parfum. La raison, pour lui, était évidente. Il trouvait que la vie à Alamo était bien trop sombre. Prisonniers dans leur forteresse, les habitants en oubliaient presque de rêver. Et mon père lui, voulait à sa façon changer la donne, faire à nouveau rêver hommes et femmes quelques soient leur races, leur profession. C’était une cause noble, mais mon père était souvent raillé. Malgré tout, 25 ans après, je pense qu’il a plutôt bien réussi. « The Crew », la marque qu’il a crée, a connu au bout de quelques années un bel essor. Certes nous ne voulons pas prétendre que cela permet de voir la vie en rose. Mais le fait qu’autant de gens aient puissent prendre un peu de temps pour s’intéresser à la mode, aux vêtements, aux parfums, choses qui peuvent paraître insignifiantes aux yeux de certains, montre, malgré les difficultés, que l’on essaie de survivre, et non plus de vivre. Et je trouve que cela est important de s’intéresser à des choses aussi futiles et aussi simples qu’un vêtement. S’offrir un bon parfum, un beau vêtement, on n’imagine pas mais au fond cela fait partie de ces petits bonheur qui améliorent la vie.
Pour en revenir au sujet, mon père a très vite vu que, contrairement à mon frère, Paul, j’avais beaucoup d’intérêt pour ce qu’il faisait. Il a alors commencé à me former en tant que nez, dans le but de créer un jour des parfums à mon tour. Ce n’est que par moi-même que j’ai aiguisé, plus tard, vers l’âge de 14 ans, mon côté artistique et que je m’amusais à griffonner dans le coin d’un cahier mes propres vêtements. Vers l’âge de 20 ans, j’ai commencé à travailler à ses côtés. Il y a 3 ans de ça, papa a décidé de prendre sa retraite et m’a passé les reines…

A.D : Il paraît que votre arrivée à la tête de « The Crew » n’a pas été des mieux perçues…

J.C : Surtout par les critiques des magasines de mode ! Timide et renfermée, j’avais du mal à m’imposer. En comparaison au tempérament excentrique de mon père, à leurs yeux je ne ferais jamais le poids. J’avais l’impression d’être une sorte de fille à papa incapable de faire quelque chose de ses dix doigts. Pourtant aux débuts de mon père, nous étions loin de vivre confortablement. J’ai connu des temps difficiles, il ne faut pas croire. Bref, j’ai eu la chance de démarrer dans la profession avec une marque ayant déjà su faire ses preuves. Ce fut bien plus simple que si je n’étais partie de rien. Ca aurait été beaucoup moins rapide également. Néanmoins, le secteur de la mode a su faire la distinction entre le père et la fille. Au fond ce n’est pas plus mal, mais à mes débuts j’étais sans cesse attendue au tournant. Heureusement, depuis un an je suis jugée à ma juste valeur. J’ai moins l’impression d’être entourée de petites harpies prêtent à me dévorer au moindre faux pas… Et je ne m’en plains pas…

…

[Article du magasine de mode « L’air du temps »]

Parmi les créateurs dévoilant la collection automne/hiver pour l’an prochain, la maison Crew semble avoir attiré l’attention… parmi tant d’autres. Surprise générale lorsque l’on vit que dans les créations Le noir et le blanc semblaient dominer. Rappelons que l’ange blond, comme ses confrères aiment à l’appeler, optait jusque là pour des créations très colorés. Cela n’aura cependant pas rebuté les critiques qui ont applaudit à l’unisson. Malgré le choix des couleurs, Crew a su faire preuve d’assez d’imagination et de créativité pour ne pas rendre ses vêtements austères.
Nouvelle surprise générale à la fin du défilé. Jaïna accompagnée de son frère, Paul Crew, reporter indépendant, à fait savoir qu’elle comptait s’investir (à sa manière) dans la lutte contre les dérives qu’il peut y avoir à Alamo. C’est beau, mais un peu utopiste, mais pas vraiment surprenant lorsque l’on sait que Paul Crew dans ses articles se montre très virulent envers les mafias, notamment dealers et proxénètes, et aurait même accusé les hautes sphères de l’État de ne pas suffisamment se bouger les fesses pour améliorer la situation.
Côté parfum, la maison Crew a récemment fait savoir qu’une prochaine fragrance allait voir le jour dans nos parfumeries. Le nom n’a pas été révélé, tout ce que l’on sait à l’heure actuelle, c’est qu’il s’agirait d’un parfum approprié pour les soirées feutrés…



[Conversation téléphonique datant d’il y a 4 mois]

Paul Crew : Au fait Jaïna, t’ais-je dis combien j’avais apprécié d’avoir appris par la presse que tu étais enceinte ?

Jaïna : J’en suis désolée, Paul. Le pire c’est que je n’ai aucune justification digne de ce nom…

Paul : Mais enfin Jaïna, je croyais qu’on se disait tout… Dis moi c’est qui le père ?

Jaïna : Un type…

Paul : Me voilà bien avancé…

Jaïna : je n’ai pas vraiment envie d’en parler. Je croyais que lui et moi c’était sérieux, mais un jour il y a eu une dispute… qui a mal tourné. Il m’a frappé et je l’ai foutu dehors, c’est aussi simple…

Paul : Grande sœur…

Jaïna : ne t’inquiète pas pour moi. J’ai 33 ans, pas 16, je suis assez mature pour être mère, et puis j’ai les moyens pour élever un enfant convenablement, même seule. La seule chose qui me pose question c’est que…

Paul : Quoi ?

Jaïna : Je crois que le père est un loup garou…



[Extrait du journal intime de Jaïna]

5 mois de grossesse… Déjà. Je n’ai pas vu le temps passer, au fond ce n’est pas plus mal. Plusieurs de mes amis me conseillent de me trouver un type bien, soit disant que ce sera plus facile pour l’enfant s’il sentait la présence d’un père. On me dit de ralentir, et surtout d’arrêter de partir avec Paul lors de ses investigations dans le secteur Ouest. Mais je n’arrive pas à me contenter de la mode. Certes cela me passionne, mais je réalise que des gens galèrent, que des injustices se déroulent et mon industrie du rêve n’est pas capable d’arranger cela. Je suis trop rêveuse, trop idéaliste aussi, mais j’ai envie d’améliorer certaines choses. Ce n’est pas prudent mais qu’importe,
Je suis lasse de restée ainsi à ne rien faire. Je suis lasse qu’on me dise ce que j’ai à faire. Et je suis lasse de regretter ce pauvre type que j’ai pourtant mis à la porte… Parfois je repense à notre rencontre. J’étais dans un bar, démaquillée, fatiguée, habillée comme un sac. Et pourtant, il m’avait reconnu. Nous nous sommes mis à discuter tranquillement. J’ai bien assez vite senti qu’il ne s’intéressait pas vraiment à la mode (il n’y connaissait absolument rien), mais qu’il remettait à chaque fois ce sujet sur le tapis pour pouvoir discuter un peu plus avec moi. Alors j’entrepris de le revoir, et c’est ainsi que tout avait commencé… Je n’arrive toujours pas à comprendre pour qu’elle raison il m’a frappé ce soir là, ce n’était pourtant pas son genre. Mais je lui ait dit de partir, et il n’est plus jamais revenu…



[conversation téléphonique datant d’il y a quelques heures]

Paul : Mais ma pauvre Jaïna, tu es complètement folle ! Je t’avais pourtant bien dit de ne pas aller dans le secteur Ouest toute seule ! Les mecs de là-bas commencent à t’avoir dans le pif tu sais ? Ou alors fais des efforts, déguisent toi ! Parce qu’une blonde grande, enceinte et qui plus ait qu’on a l’habitude de voir dans les journaux, excuse moi mais ça se remarque !

Jaïna : cesses de me prendre pour une môme tu veux ?! Ce n’était pas sérieux, mais j’avais promis de venir voir Alice ! C’est ton indic, elle courre un bien plus grand danger que moi ! Je lui dois bien ça, et je n’ais pas envie de fermer les yeux et de ne rien faire !

Paul : Je ne veux pas rester à ne rien faire… Combien de fois je l’ai entendue cette phrase ? Jaï, tu sais très bien la véritable raison, ce pourquoi tu agis avec autant de fougue et d’imprudence ! Depuis que cette chasseuse t’as lancer à la figure que tu ne servais à rien d’autres qu’à vendre des illusions pendant que le monde continuait de s’assombrir, tu cherches à prouver au monde entier que toi aussi tu es capable de bouger dans l’espoir d’améliorer les choses. Tu prends des risques inutiles et ça en devient ridicule.

Jaïna : Si tu n’es pas content de cette situation il ne fallait pas me proposer de venir avec toi lors de tes investigations.

Paul : Je sais… Et à présent je regrette…




Prénom :Marylise

Âge : 19 ans

Présence : 6 / 10

Impressions sur NoX : ça m’a l’air sympa !

Comment êtes-vous arrivé là ?la fondatrice a juste eu besoin de me filer le lien

Avatar choisi : Charlize Theron

Bonjouuuuur et bienvenue sur NoX ! *aurait fait fureur comme représentant au porte à porte*

Hé bien, personnage original vu le contexte mais tout a fait adapté. Depuis plusieurs années les humains se complaisent dans leur trou (Alamo) et ont même repris des activités superflues au lieu de se battre pour réclamer le droit à la vie, d'où un réel intérêt pour un personnage comme Jaïna ^^

J'ai cependant relevé une petite erreur au début de la biographie, 2050 est l'année où a débuté la 3ème guerre mondiale et Alamo n'existait pas encore. La date actuelle sur NoX est 2350
Et pour les 40 ans d'existence de ta société, personnellement ça me semble ou peu trop, à voir avec Payne ou alors couper la poire en deux (disons 25 ans grand maximum).

Pour le reste, il ne faut pas oublier la situation de l'humanité, vous êtes sous terre à vous protéger des monstres et même si les écosphères produisent suffisamment de ressources, certaines n'en restent pas moins des denrées rares, voire uniques.
Il faudra donc garder à l'esprit que les facilités du monde (pré-guerre) ont été perdues.

Voila, à bientôt !

Heyou!


J'ai apporté les modifications concernant la date. De la même manière, la maison de couture n'existe à présent que depuis 25 ans (ça ne me dérange absolument pas de réduire, donc procédons plutôt ainsi).

Pour ce qui est des ressources, j'en tiendrais compte, pas de soucis

Oh des pralines c'est trop gentil!!

Je choisi le secteur 1, ça me paraît le plus logique. Ma petite Jaïna étant clean, je suis partante pour un NdR de 3.

J'ai fait la fiche de personnage, par contre vu qu'elle est enceinte de 6 mois, est-ce que ça vaut la peine que je rajoute un point supplémentaire? J'ai pour le moment mis +1 en vitesse de mouvements, mais après réflexion j'imagine mal une femme enceinte capable de se mouvoir aussi rapidement qu'en temps normal (pour la vitesse n'en parlons même pas xD).

Oui tu as bien fait de rajouter 1 point, les caractéristiques physiques ne sont pas vraiment importantes, c'est juste pour avoir un exemple chiffré et éviter ainsi certaines incohérences

Être enceinte est un état temporaire et de manière générale ton personnages est certainement plus rapide qu'un homme de 2 mètres pour 130 kg ^^

Ta fiche est modifiée, si tu as des questions ou une remarque à faire, n'hésite pas

Oki pas de soucis